Les syndicats rejoignent la contestation

 | Par Paulo A. Paranagua

Baroud d’honneur ou vraie mobilisation ? La « journée nationale de lutte avec grèves et manifestations », convoquée par les centrales syndicales brésiliennes, jeudi 11 juillet, un mois après le début des protestations contre la dégradation des transports publics, de la santé et de l’éducation, peut changer la nature de la crise sociale et politique qui frappe le pays.

« Nous mobilisons nos adhérents », assure une déléguée de la Centrale unique des travailleurs (CUT) devant une banque de l’avenue Paulista, la City de Sao Paulo. La CUT, présidée par un employé de banque, Vagner Freitas, fait campagne contre la terceirização, la précarisation en vogue au Brésil, consistant à transformer le salarié en travailleur autonome et à externaliser un maximum d’emplois.

« Nous allons fermer les magasins », renchérit un représentant du syndicat des employés de commerce de l’Union générale des travailleurs (UGT), dans le vieux centre-ville. Ce dernier soutient à fond les manifestations de juin, appelées par les réseaux sociaux, et pense que c’est maintenant aux syndicats de prendre le relais.

Lisez l’article sur Le Monde.

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