Brève
Fin août 2007, le gouvernement brésilien a reconnu pour la première fois la responsabilité de l’État dans les crimes commis pendant les années de la dictature.
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Un document intitulé « Le droit à la mémoire et à la vérité », fruit de 11 années de travail de la Commission spéciale sur les morts et les disparus politiques, mise en place pour enquêter sur les crimes de la dictature, a été présenté fin août.
Ce livre retrace l’histoire de plus de 400 opposants politiques victimes de la dictature militaire (1964-85).
Le gouvernement brésilien a recensé officiellement 357 victimes de la dictature, l’ONG Tortura Nunca Mais parle de 480 morts et disparus.