Connu surtout pour son oeuvre théâtrale, Nelson Rodrigues n’est pas seulement le plus important dramaturge brésilien : il a également excellé dans la prose avec Confissões, une série de chroniques aussi drôle que dérangeante, publiée quotidiennement entre 1960 et 1980, et qui lui a valu autant d’ennemis que pour ses pièces. Longtemps oubliée, sa prose réapparait tout en fraîcheur dans une étude de l’écrivain Luís Augusto Fischer, qui compare les confessions rodriguéennes à la franchise des essais de Michel de Montaigne.
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