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Texte et photos de Valéria Almeida
Source : Carta Capital – septembre 2007
Traduction : Sandrine pour Autres Brésils
Notes de bas de page et édition : G. da Costa
Rue São Pantaleão 857. Centre historique de São Luis do Maranhão. De dehors, rien qui ne sorte de l’ordinaire, à part la plaque installée sur le mur vert, à côté de la porte, que l’on trouve ouverte. Il est écrit « Casa das Minas ». Juste en dessous, suivent les mots « Querebentã de Zomadonu ».
Qu’est ce que cela signifie ? A l’intérieur, l’immeuble a conservé le sol de terre battue, rouge.
La structure de la maison, jaune à l’intérieur, présente des caractéristiques inhabituelles. La maison se divise en quatre côtés séparés par un grand patio. Je reste là à frapper dans les mains en attendant que quelqu’un me reçoive. Surgit une grande femme, noire, avec une robe de toile imprimée et un balai à la main. L’ustensile fait rapidement comprendre qu’elle est occupée. Sans rien dire, avec un regard ferme, la dame aux cheveux grisonnants s’approche. C’est « Deni Prata Jardim » [Deni jardin d’argent], connue sous le nom de Dona Deni. Je me présente et demande si nous pouvons discuter. Je voudrais connaître la maison et ce que les mots à l’entrée signifient. Sans une expression et sans lâcher le balai, elle dit ne pas avoir le temps. Malgré tout elle s’assoit sur l’un des bancs qui occupent le côté gauche de l’espace en face.
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