L’ONU s’inquiète de la régression des droits des peuples autochtones au Brésil

 | Par Greenpeace

Pour les peuples indigènes qui luttent pour la reconnaissance de leurs terres ancestrales, le Brésil est un des pays les plus dangereux.

Les indiens Xavántes de la région de Maraiãwatsede et leurs peintures de guerre traditionnelles. À cause du conflit autour de la propriété de leurs terres, les peintures de guerres font désormais partie du quotidien des peuples autochtones.

Rien qu’en 2015, 50 militants écologistes, et notamment des militants indigènes, ont été assassinés au Brésil (EN) pour avoir lutté contre les exploitations agricoles, minières et forestières illégales. Dans leur lutte pour la reconnaissance officielle et la protection de leurs terres ancestrales, les peuples autochtones du Brésil, outre cette violence, subissent également les affres de l’administration et de la bureaucratie locales, dont la lenteur notoire permet aux industriels de s’accaparer et d’endommager toujours plus leurs territoires.

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