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Source : Revista forum n° 92 - nov 2010
Traduction : Roger Guilloux pour Autres Brésils
La Constitution a mis en place un Etat dans lequel les libertés de croyance et de culte sont garanties et où la séparation de l’Etat et des institutions religieuses est expressément définie. Dans la pratique, cependant, la promiscuité entre politique et religion reste toujours une réalité à laquelle il faut faire face.
Le monothéisme n’a rien de démocratique. La croyance en un dieu unique présuppose la négation de l’existence du dieu du voisin. Pire, elle présuppose que les commandements de son dieu sont plus justes que ceux du dieu du voisin. Et il est naturel que tous ceux qui s’arrogent le droit de parler au nom de ce dieu unique et tout puissant ne soient pas des hérauts du pluralisme. Qui oserait contester la parole de quelqu’un qui parle au nom d’un dieu tout-puissant, omniprésent et omniscient ?
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